C'est vendredi

Vendredi (avant les repos) faisons le point. 

      Hier, nous avons pris un cours d'économie Politique, vu que les derniers avaient eu lieu en 1975, ce n'était pas du superflu avec l'actualité de ces derniers jours. Nous vous livrons donc nos réflexions qui reflètent l'idée du Parti de gauche partie prenante du Front de gauche.

      Ce système capitaliste fonctionne sur  le papotage, le non-dit, le pipo et le mensonge, alors que seuls la production industrielle, le commerce, les richesses produites devraient guider l'investisseur potentiel. Or il n'en n'est rien. Dans ce système capitaliste mort vivant, la loi du seul profit rapide et immédiat lui permet de réaliser d'immense profits qui ne reposent que sur du vent.

      Aujourd'hui, ils ont peur et transmettent leurs angoisses aux dirigeants Nationnaux.  Pour sortir du marasme, ceux ci n'ont qu'une idée en tête et là, c'est la gravité du moment.

      Une seule solution à leurs yeux "l'austérité".

      L'austérité parlons en. Celà consiste à prendre le problème à l'envers. Restrictions des budgets pour l' Education, pour la recherche, pour la santé, pour l'emploi.... en un mot tout ce que la bande du Fouquet's a mis à mal depuis 2007. Donc, paralysie de l'économie,  qui fait que  les recettes fiscales ne rentrent plus, le Pays s'appauvrit et donc le serpent se mordant la queue, ces bonnes agences, dégradent ses notes qui, automatiquement augmentent les taux de crédits. Et voilà ce qu'ils ont fait et font encore à la Grèce et demain aux suivants car on ne saurait s'arrêter en si bonne voie. 

      Pourqoi cette crise?

      En Juin, Barroso, Merkel, Sarkosy, réunis en urgence, n'ont rien trouvé de mieux à faire que d'autoriser les dites agences de notation à évaluer les entreprises, toutes les entreprises,  donc évaluer aussi les banques.

      Les résultats ne se sont pas fait attendre.

      Qand ils évaluent un risque, les taux qui s'envolent aggravent le dit risque alors que forcément, comme on l'a déjà vu, les Etats concernés (c'est à dire le monde qui travaille) épongent la dette.

      Où est le risque?

      On dit que cette dette est indue, en un mot cet évènement n'est qu'une fumisterie. Un Président de la République qui se respecte se devrait de taper un grand sur la table et renvoyer ces agences bidon à la niche. Dire, pour nous la France mais pour les autres aussi,  d'emprunter,  forcément et exclusivement à la banque centrale car à l'heure actuelle en empruntant au marché comme on dit, on emprunte à une banque ou un office à 5, 8, 10 jusqu' à 18 0/0  et oui 18 pour cent en Grèce, ça s'est vu alors que pour ce faire ces banques on, elles emprunté à 1 ou 1,5 pour cent.

      Où est l'erreur ? Que faire ?  Taxer au prix fort ces Traders qui déjà devaient déjà payer  en 2009 d'après les promesses venues après des colères gouvernementales et Présidentielles.

      Et rien. On ne touche pas à ceux là, ils font partie intégrante du système.

      Il ne nous reste qu'une solution, non pas envisageable, mais à l'application immédiate, c'est la "Résistance" .