Quand Copé parle
«Quand je vois M. Zapatero opter pour cette démarche en Espagne, je me dis qu'il y a vraiment un moment où chacun doit être placé devant ses responsabilités. C'est la raison pour laquelle je préconise qu'il y ait réunion du Congrès et que chacun soit placé devant ses responsabilités», a-t-il ajouté.
«Je peux comprendre que les socialistes contestent nos mesures, nos réformes... Mais il y a une chose que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi refuser la règle d'or», a-t-il poursuivi.
Jean-François Copé «considère que le PS et ses dirigeants font oeuvre d'une très grande immaturité». «Ce n'est pas l'âge qui fait la maturité mais c'est l'esprit de responsabilité et l'expérience des années passées».
«Ne pas vouloir voter la règle d'or, c'est à la fois obstiné, regrettable et puéril. Je considère que voter la règle d'or, ce n'est en rien voter pour la droite quand on est de gauche, ça n'est en rien voter pour Nicolas Sarkozy. C'est simplement s'inscrire dans une démarche d'intérêt national», a-t-il souligné.
A la veille de l'université d'été du PS à La Rochelle et à huit mois de l'élection présidentielle, le numéro un de l'UMP a estimé que la rentrée devait être «un moment de vérité entre le PS et notre majorité».
Il faut que les responsables socialistes «arrêtent de jouer à cache-cache», sortent de «leur silence gêné ou de leur cacophonie» et disent notamment si «oui ou non, ils vont revenir sur la réforme des retraites», la fusion des conseils généraux et régionaux et les engagements et «autres folies» de leur programme présidentiel, «incompatible avec l'idée d'un respect de la règle d'or».
Une telle fatuité ne permet d'èspérer, de la part d'un tel homme, une élévation de la grandeur de l'âme. Merci Môssieur notre Député ,encore et encoren vous faites notre lit avec de telles déclamations. Humm !... La nuit sera bonne.