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Front de gauche de Lizy et du Pays de l'Ourq 77
14 septembre 2012

OUI, unis on peut dire NON

Le Front de gauche recrute contre
             le traité européen

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Par Sophie de Ravinel Mis à jour le 14/09/2012 à 07:11 | publié le 13/09/2012 à 19:00 Réagir
Jean-Luc Mélenchon, lundi, lors d'un discours sur le site de Petroplus, à Petit-Couronne <br/>(Seine-Maritime).
Jean-Luc Mélenchon, lundi, lors d'un discours sur le site de Petroplus, à Petit-Couronne
(Seine-Maritime).
Crédits photo : CHARLY TRIBALLEAU/AFP

Mélenchon et Laurent vont profiter de la Fête de l'Huma pour élargir la

protestation contre l'adoption de la règle d'or.

«Nous affirmons aux yeux de toute l'Europe la permanence d'un refus qui s'est constitué dès 2005 et qui s'est, depuis, sérieusement approfondi.» Certes, Jean-Luc Mélenchon a échoué à entrer à l'Assemblée nationale en juin. Mais ces temps-ci, l'ex-candidat du Front de gauche à la présidentielle ne doit pas regretter son siège au Parlement européen, base arrière privilégiée pour lutter contre le traité européen sur la stabilité, la coordination et la gouvernance. Viscéralement opposée à ce «mécanisme» qui «impose l'austérité» et met à mal «la souveraineté populaire», la gauche radicale demande l'organisation d'un référendum et constitue un bloc auquel elle espère agréger, lors de la manifestation nationale du 30 septembre, les élus écologistes et de la gauche du PS qui se sont prononcés contre le traité.

Tous vont déjà se retrouver ce week-end à la Fête de l'Humanité, en Seine-Saint-Denis. Une formidable caisse de résonance. Comme l'indique le directeur du journal communiste et député européen Patrick Le Hyaric, cette fête, outre son côté artistique avec Patti Smith en vedette, est animée cette année autour de trois axes: «contre l'austérité, contre les plans gravissimes de licenciement et en faveur d'une consultation populaire sur le traité européen».

Sur son blog, une agora virtuelle à laquelle participe toute une communauté de militants, Jean-Luc Mélenchon ferraille depuis plusieurs semaines contre «l'opération d'enfumage permanent à laquelle se livrent les partisans du traité», le chef du gouvernement Jean-Marc Ayrault en première ligne. «J'affirme, dit Mélenchon, que tout est fait pour empêcher que “qui-que-ce-soit” puisse se saisir en connaissance de cause du problème posé par ce texte.»

Quitte à froisser ses pairs, comme Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, lorsqu'il a choisi la date du 30 septembre pour la manifestation, sans l'avoir préalablement négociée, l'eurodéputé veut porter le flambeau d'une lutte qu'il inscrit dans la suite du «non» au traité européen de 2005. Cette victoire avait participé à la fondation du Front de gauche, comme le rappelle Éric Coquerel dans son livre très documenté, Au cœur du Front de gauche (Éditions Arcane 17). «Comment Jean-Marc Ayrault peut-il affirmer que l'indépendance budgétaire du pays est préservée quand le texte du traité prévoit, à son article six, que tous les programmes d'emprunts d'État doivent d'abord être soumis à l'approbation de la Commission européenne?», s'indigne Mélenchon qui, dans Libération de mercredi, n'y allait pas par quatre chemins: «Quand Ayrault dit que Hollande a fait bouger les lignes du traité “Merkozy” , il ment.»

Pierre Laurent veut tout autant «faire reculer l'austérité mortifère», lui aussi. Le numéro un communiste s'est indigné du «silence insupportable» du chef de l'État sur le traité lors de son interview télévisée, dimanche dernier. «Les forces opposées à l'austérité sont très larges et la bataille se poursuivra jusqu'à obtenir des renoncements et des reculs significatifs», prévient Pierre Laurent, qui se réjouit d'entrer au Sénat le 19 octobre - à la place de Nicole Borvo - pour y mener la bataille législative avec les députés communistes. Avec eux, une poignée de parlementaires PS comme les députés Jérôme Guedj (Essonne) et Pascal Cherki (Paris) ou la sénatrice parisienne Marie-Noëlle Lienemann. Celle-ci participe vendredi à une table ronde à la Fête de l'Huma pour des «états généraux de la refondation européenne». Avec, entre autres, François Delapierre, bras droit de Jean-Luc Mélenchon.

LIRE AUSSI:

» Mélenchon: une crise «aussi grave qu'en 1929»

» Le Front de gauche accentue ses critiques

» Jean-Luc Mélenchon de retour à Hénin-Beaumont 

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     Ce texte, celui du traité, il faut le lire. Et alors, là, il vaut mieux s'assoir. Après avoir quelque peu ramé, car très difficile à lire et à comprendre, mais c'est fait pour ça, vous saisissez le pourquoi du comment de la chose. Heureusement vous êtes assis.

                              Gouvernementd'opérette, Président de pacotille, élections futiles, voir inutiles. La Commission Européenne s'occupe de tout.

                              Non! décidément Sarkozy avec Merkel avaient bien fait les choses, pour eux, mais notre Président Hollande, son gouvernement, les socialistes tout ce monde, seraient-ils gavés de soporifiques?

                              Debout, réveillez vous, venez rejoindre ceux qui disent NON! Ce n'est pas le moment de s'endormir sur vos lauriers!

                                             Oui le Front de gauche s'insurge, mais pas tout seul. Jours après jours des organisations, des Syndicats, des associations se joignent à nous comme en 2005 dans le même esprit d'indépendance Française qui nous a toujours collé à la peau.

 

                                                               

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