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Front de gauche de Lizy et du Pays de l'Ourq 77
1 octobre 2012

aprés démonstration.....

 

Paris: grande manifestation des opposants

       au traité budgétaire européen

 

 LeParisien.fr

Publié le 30.09.2012, 14h56 | Mise à jour : 15h56

http://www.leparisien.fr/politique/paris-grande-manifestation-des-opposants-au-traite-budgetaire-europeen-30-09-2012-2191321.php

 Plusieurs milliers de personnes ont commencé à défiler dimanche après-midi depuis la place de la Nation pour dire non à l'Europe de «l'austérité», répondant à l'appel de plusieurs organisations, notamment le Front de Gauche. 

| LP/ Bertrand Langlois

 Des milliers de personnes se sont élancées dimanche peu après 14 heures de la place de la Nation à Paris, en direction de la place d'Italie, pour dire non à l'Europe de «l'austérité», scandant le mot «Résistance», à l'appel d'une soixantaine d'organisations dont le Front de gauche.


«Ce jour est le jour où le peuple français entre en mouvement contre la politique d'austérité», a lancé Jean-Luc Mélenchon, co-président du Parti de gauche, principale composante du Front de gauche avec le PCF, insistant sur la présence à ses côtés de deux élues espagnole et portugaise de gauche radicale.



Avaient aussi pris place en tête du cortège Pierre Laurent, numéro un du PCF, Philippe Poutou et Olivier Besancenot, ex-candidats du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à l'Elysée, ainsi que des militantes féministes ou encore Annick Coupé du syndicat Solidaires. Interrogé par des journalistes sur l'absence de représentants du PS et d'EELV, Jean-Luc Mélenchon a répondu : «Il n'y en a peut-être pas dans le carré de tête mais il y a en partout dans la manifestation.»

Selon le Front de gauche (FG), il y avait «plus de 50 000» manifestants au départ. Aucun chiffre n'était disponible dans l'immédiat de source policière.

Pas d'opposition au gouvernement mais aux «politiques d'austérité»


Le leader du Parti de gauche a réfuté qu'il s'agisse d'un rassemblement d'opposition au gouvernement. «C'est une manifestation d'opposition aux politiques d'austérité», a-t-il insisté. Le côté «nouveau» , a-t-il fait remarquer, «c'est une manifestation de gauche sous un gouvernement de gauche». «Le mouvement social ne va pas se taire pendant cinq ans», avait prévenu avant le départ du cortège Aurélie Trouvé, coprésidente d'Attac France.

Jean-Luc Mélenchon au micro de BFM TV

Tonalité un peu différente chez Olivier Besancenot. Pour lui, il faut «assumer un statut d'opposant politique à la gauche du gouvernement». «Il était temps que la rue se réinvite un peu et se fasse entendre contre la politique du gouvernement», a ajouté le leader trotskiste, voyant dans la manifestation la «première étape» d'une «unité durable» des opposants de gauche.

«C'est un point de départ, ça commence aujourd'hui et ça va continuer dans les semaines a venir», a dit Pierre Laurent, décrivant un mouvement destiné à «donner du courage à la gauche pour mener la guerre à la finance».

Près de 60 organisations ont appelé à manifester, selon le Parti de gauche. Outre les composantes du Front de gauche, le NPA, on dénombrait parmi les syndicats, l'Union syndicale Solidaires et plusieurs branches de la FSU ou de la CGT et, côté associations, Attac, Copernic, le DAL, la Cimade, Act Up Paris notamment.


L'ex-ministre UMP Bruno Le Maire a jugé sur Radio J la manifestation «logique, compréhensible». Le Front de Gauche «a été dupé de bout en bout», selon lui, «François Hollande leur avait répété, "je modifierai le traité, j'irai voir Merkel", et résultat: zéro modification!».

Ceux qui appellent à manifester «commettent une erreur de fond», a estimé pour sa part le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, sur Europe 1. Ratifier le traité européen reprenant la «règle d'or» budgétaire «est nécessaire pour renforcer la parole de la France affaiblie» lors du précédent quinquennat, a-t-il assuré.

 

ourq_p Oui cela a été une réussite, mais ce n'est pas un aboutissement. Le Front de gauche a démontré que ses femmes et ces hommes tout en ayant conscience des difficultés de notre Pays à redresser la barre démontre qu'une volonté de faire une autre politique.

                          Que le gouvernement cesse ses simagrées au patronat et prenne conscience que la force vivante de la France c'est celle qui était dans la rue hier, celle des travailleurs. Le Socialisme ce n'est pas seulement des mots que l'on emploie dans les meetings de campagne, ce doit être une réflexion continue et une ligne d'action. Pas un rêve qui passe.

                           Demain fort de cet appuie les ministères et le gouvernement se doivent de réagir et de prendre des décisions précises augurant de la ligne de conduite, de la route à prendre, sinon de grave déconvenues vont se profiler comme notamment faire le lit de l'extrême droite des "Le pen et Copé".

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