De nous cette fois
La colère et c'est peu dire...
Oui, la colère, apprenant par le biais des infos que Montebourg s'exprimant devant les grévistes de Mory-Ducros leur disait clairement d'arrêter leur mouvement vu qu'il était irresponsable de vouloir continuer leur action vu que le gouvernement travaillait activement à rapprocher les parties pour sauver plus de 2.000 emplois.(sur plus de 5000)
Les braves gens que cette social-démocratie. Les voilà appuyant l'actionnaire principal qu'est "Arcole" qui vire plus de 2600 chauffeurs et employés et qui trouve révoltant de les voir défendre l'outil de travail. Un ministre du redressement qui invite les travailleurs à reprendre le boulot alors que l'actionnaire joue avec plus de 5000 emplois.
Décidément Montebourg est tombé bien bas, c'est bien ça que de fréquenter des gens qui sont infréquentables. La pécole ça s'attrape, la preuve!
Selon les syndicats et les informations recueillies par l’AFP, outre le siège de Gonesse (Val-d’Oise), les sites de Saint-Jacques près de Rennes, Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), Libercourt (Pas-de-Calais), Rouen (Seine-Maritime), Périgueux (Dordogne) et Saint-Etienne (Loire) étaient bloqués.
Sur le site toulousain de Bruguières, les salariés se sont mis en grève pour protester contre le niveau «ridicule» de l’indemnité proposée. «Pour quelqu’un qui a travaillé pendant 16 ans, faites la division: ça ne fait pas grand-chose (437 euros par an). Les salariés se sentent méprisés», a expliqué la déléguée CGT du site Christiane Daunas.
Réponse est donc faite à Montebourg, le briseur de grèves, l'action s'est propagée et s'est durcie. Se mettre en grève n'est vraiment pas une chose légère, mais la seule ressource des travailleurs face à l'intransigeance des patrons et de leurs valets n'ayant que la profits rapides et durables en tête.
On croyait bêtement que les socialistes le savaient...